Ça commence toujours de la même manière… « Comment, tu n’es pas sur (ajouter au choix Clubhouse, Mastodon, et désormais Bluesky) »… Montée de stress, serais-je (enfin) dépassé ? Un réseau social qui monte sans moi ?
La deuxième étape est, là encore, toujours la même : le réseau en question étant en général en mode beta (je n’ose imaginer qu’un lecteur d’Hors Normes ne sache pas ce que ça signifie, mais au cas où, ça veut dire en période de test, de rodage), l’accès n’est pas encore ouvert à tous. Il faut donc une invitation, le graal. Commence donc la course aux invitations. « Dis, t’as pas une invitation pour BlueSky ? », était le message le plus fréquent ces deux ou trois dernières semaines dans mes réseaux. Ceux que j’envoyais, et ceux que je recevais. Car, non, je n’avais pas eu d’invitation à rejoindre BlueSky et il m’en fallait une au plus vite avant de devenir un dinosaure de l’ère numérique.
Le salut est venu d’un ami installé à Hawaï. Pendant quelques jours, c’était à celui de nous deux qui aurait le premier des invitations. Je dois reconnaître qu’il a été meilleur, et, généreux : il m’a donné une invitation dès qu’il en a eu une à partager.
Me voilà donc sur ce « bout de ciel bleu », comme disent les gentils membres de ce réseau fondé par Jack Dorsey, le fondateur de Twitter.
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